MPP: Vive le Xe anniversaire du discours magistral du Président Gonzalo (2002)

Prolétaires de tous les pays, unissez-vous !

VIVE LE Xe ANNIVERSAIRE DU DISCOURS MAGISTRAL DU PRESIDENT GONZALO !

Nous sommes ici en tant que des fils du peuple ; et nous combattons dans ces tranchées qui elles aussi sont des tranchées de combat ; et nous le faisons parce que nous sommes communistes! Parce que nous défendons ici les intérêts du peuple, les principes du Parti, la Guerre Populaire. Voilà ce que nous faisons, nous sommes en train de le faire et nous continuerons à le faire!

Nous sommes ici dans ces circonstances ; certains pensent qu’il s’agit d’une grande défaite, ils rêvent ! Nous leur disons : continuez de rêver. Ce n’est qu’un détour, rien de plus. Un détour sur le chemin! Le chemin est long, et par celui-ci nous arriverons, et : nous triompherons! Vous le verrez! Vous le verrez!

Président Gonzalo (Lima, 24 septembre 1992)

Dix ans ont passé depuis que le Président Gonzalo a donné son Discours magistral, qui resplendit victorieux et puissant aux yeux du monde comme une arme de combat ; avec son Discours, il a conquis un grand triomphe politique, moral et militaire pour le Parti et la révolution, écrasant les plans du régime fasciste, génocidaire et bradeur de Fujimori et de son maître impérialiste yankee.

Aujourd’hui, nous voyons que le développement du monde pendant ces dix années s’est produit de la façon et comme le Président Gonzalo le signalait avec une grande prévision scientifique révolutionnaire ; à la fois, nous constatons comment le Parti Communiste du Pérou, avec fermeté et détermination communiste, d’une manière magnifique et percutante, concrétise et accomplit toutes et chacune des directives données par notre Grand Direction et ainsi s’approche l’instauration de la République Populaire du Pérou.

La guerre populaire brûle victorieuse et puissante, en démolissant le vieil Etat et en écrasant l’intervention accrue de l’impérialisme yankee !

L’intervention accrue de l’impérialisme yankee, utilisant le prétexte de « la guerre contre la drogue » ou le mensonge du « narco-terrorisme », est une preuve politique percutante du développement victorieux et puissant de notre invincible guerre populaire.

Le gouvernement de Toledo est le plus pro-impérialiste jusqu’à aujourd’hui, imposé directement par l’impérialisme yankee.

Il poursuit les privatisations et concessions, avec la vente aux enchères à un prix cadeau, de tout le peu qui reste des entreprises étatiques, de tout le peu que le gouvernement fasciste, génocidaire et bradeur de patrie de Fujimori ne pouvait pas vendre, offrant les terres agricoles, les terrains en friche, la forêt vierge et les cours d’eau au capital impérialiste et à celui de la grande bourgeoisie ;

tout cela pour obtenir de l’investissement étranger direct, pour pouvoir payer le versement croissant de la dette externe et les parts sur les bénéfices au capital impérialiste.

Appliquant les diktats de la Réserve Fédérale de l’impérialisme yankee nord-américain, à travers le FMI, ils augmentent l’impôt direct sur la consommation des masses, ils imposent des impôts sur la rente des retraités, ils maintiennent élevés les tarifs sur l’électricité, le téléphone… et ils en augmentent d’autres, comme le péage.

Ils déclenchent un harcèlement plus fort, en employant une armée d’encaisseurs coercitifs des impôts (17.500 nouveaux agents jusqu’à décembre 2002), contre les personnes exerçant un métier indépendant, la petite et moyenne bourgeoisie. Ce même gouvernement, dont les plus hauts fonctionnaires ont un salaire de plus de 15.000 dollars par mois, a déclaré qu’à cause du déficit fiscal, il n’y aura aucune augmentation de salaires pour les travailleurs.

Ce gouvernement a décrété une mesure d’imposition de 3,500 millions de dollars en plus pour les villages à l’intérieur du pays, à travers la suppression des exonérations fiscales ; les élections municipales et régionales serviront à cela. Tout ceci, afin de continuer, par le fer et le sang, d’appliquer le plan du « néolibéralisme » au service de l’impérialisme yankee et la grande bourgeoisie, un plan qui a échoué.

Aujourd’hui, ils le font dans des circonstances beaucoup plus graves. Quatre années consécutives de récession ont déjà passées et la dite réactivation, on ne la voit nulle part, au contraire le chômage augmente, chaque jour qui passe l’utilisation de la capacité existante des entreprises se réduit davantage et leur caractère obsolète augmente, pendant qu’augmentent aussi le déficit de la balance commerciale, celui de la balance de paiements et le déficit fiscal.

Ceci c’est la vielle société péruvienne, son processus économique, le capitalisme bureaucratique qui marche vers son effondrement final. La lutte de classe s’aiguise, se développe principalement la guerre populaire et celle-ci conflue avec la marée hurlante de la lutte populaire.

Ni ce gouvernement, ni aucun autre, ne peut ni ne pourra accomplir la première tâche réactionnaire, celle de donner un nouvel élan au capitalisme bureaucratique.

Aujourd’hui, le gouvernement de Toledo, cet avorton de l’impérialisme, avec l’appui de tous les partis de la réaction et du révisionnisme, sont en train de violer toutes leurs promesses électorales ainsi que leur propre ordre constitutionnel.

Du matin au soir, ils mènent à bien « la reforme de la Constitution » du gouvernement fasciste, génocidaire et bradeur de patrie, comme partie de leur restructuration étatique.

Ceci afin de l’aménager encore davantage pour combattre la guerre populaire et donner un caractère constitutionnel au plan économique de l’impérialisme et de la grande bourgeoisie, comme ils l’ont dit eux-mêmes : « afin d’incorporer les réussites indéniables de ces dix années à la Constitution », c’est-à-dire, pour donner l’accolade « constitutionnelle », donc la validité légale à tous les actes du gouvernement de Fujimori, Montesinos et Hermoza Ríos, suivi par celui de Paniagua et par le gouvernement actuel.

Ceci, afin de pouvoir maintenir incarcérés tous les milliers de prisonniers politiques et prisonniers de guerre, incarcérés durant plus d’une décennie sans aucune condamnation valable ; afin de pouvoir maintenir le Président Gonzalo et le Camarade Feliciano en isolement absolu ; afin de préserver leurs lois fascistes et bénir les auteurs des génocides sans nom contre notre peuple, commis par leurs autorités politiques, militaires et policières ; afin que Montesinos puisse continuer de travailler « pour la sécurité » hors de son bureau actuel dans les installations de la base navale du Callao, comme Toledo lui-même vient de déclarer à Washington.

Ce parlement — pour la deuxième année consécutive sous la présidence de ce fasciste viscéral qu’est Ferrero Costa — a, il y a peu de jours, autorisé l’entrée de 600 marines, aceheminés à bord du navire nord-américain, l’US Portland, au territoire nationale, afin d’effectuer des manœuvres de guerre avec des vaisseaux et soldats des Forces Armées sur la côte centrale (100 kilomètres au nord-est de Lima) et sur le fleuve Amazone, proche de la base navale Nanay y et la ville d’Iquitos, sous la couverture des manœuvres UNITAS, qui sont des manœuvres conjointes pour la préparation dans le cadre des plans yankees d’intervention dans la région andine, ainsi que pour l’introduction massive d’armement et d’équipement militaire yankee pour leur « guerre de basse intensité » contre notre guerre populaire.

En novembre recommenceront les « vols anti-drogues », comme partie d’un plan majeur qui inclut une « coopération nord-américaine » plus vaste que l’interdiction aérienne.

Une partie de ce plan est le jeu de mots à propos de la différence entre « troupes » et « troupe », que la loi approuvée par ce même parlement contient, afin de donner un caractère formel « constitutionnel » à l’intervention accrue de l’impérialisme yankee, afin de cacher cette intervention accrue sous l’étiquette d’ « aide ou assistance sociale », ayant comme but que pas même le Parlement du vieil Etat ne sera informé de cela.

De cette manière, ils foulent encore davantage au pieds leur déjà piétinée Constitution. Pour que le vieil Etat pourri puisse combattre la guerre populaire, ils affectent à cette « aide », par exemple, un « crédit de 200 millions de dollars US, qui sera approuvé par la Banque Interaméricaine de Développement (BID) ».

En plus, il y a « une série d’opérations qui pourront être concrétisées pendant les mois prochains, presque toutes liées à des emprunts pour des projets globaux », comme l’ont précise de sources à Washington. D’un autre côté, on disait que le crédit de 50 millions de dollars US, souscrit avec la Banque Mondial le mercredi, donne sa caution à la discipline fiscale appliquée dans le pays.

Leurs élections municipales et régionales sont un échec déjà avant de commencer. Ceci montre la putréfaction de leurs quasi-partis et les appétits de leurs petits chefs pour obtenir de petits postes. Face au rejet des masses et face au boycott que le Parti applique, il est prévu, par les propres analystes de la réaction et de l’impérialisme, que ces élections seront leur plus grand échec jusqu’aujourd’hui.

Beaucoup de représentants du gouvernement craignent le pire. Maintenant, le Président du Tribunal National des Elections a annoncé que, en accord avec l’ONPE [l’Office National des Processus Electoraux], on va fusionner deux ou trois bureaux de vote pour réduire les bureaux de 94.000 à 50.000 bureaux ; ainsi, devant la poussée de la guerre populaire, ils se voient obligés de concentrer leurs centres de vote dans des endroits où ils pourront mieux les protéger contre l’action de l’APL [Armée Populaire de Libération].

La situation de leurs Forces Armées génocidaires et bradeuses de patrie ne pourrait pas être pire. Elles sortent, prenant la fuite, pour échapper aux affrontements avec l’APL. Les masses leur rejettent. En dépit de toute l’ « aide yankee », on dit qu’elles ne peuvent pas nous combattre avec toutes leurs forces, « car il n’y a pas suffisant d’argent » (voir les déclarations de Loret de Mola, ministre de la Défense, et de Gino Costa, ministre de l’Intérieur, dans la plupart des journaux de ce mois-ci).

Ceci montre leur échec total dans leur tâche de restructuration du vieil Etat, c’est une impossibilité historique et politique de plus. Quelle que soit l’ampleur de l’intervention et de l’ « aide » yankee, le vieil Etat est en train d’être balayé, pièce après pièce, par notre invincible guerre populaire.

En plus — et ceci est le principal — l’ennemi, aujourd’hui avec le gouvernement de Toledo, le Yankee au bonnet indien, justement comme ses prédécesseurs, ne récolte que des échecs quant à l’accomplissement de leur tâche réactionnaire principale, qui est d’anéantir la guerre populaire.

Aujourd’hui Toledo crie depuis Washington pour le retour de Fujimori en l’an 2006, afin qu’il continue sa « tâche réussie contre le terrorisme ». Mais rien ni personne ne pourra vaincre l’invincible guerre populaire, car elle avance en écrasant et combattant tous les plans de l’impérialisme, de la réaction et du révisionnisme.

Les Plans du Parti s’appliquent de manière magistrale !

Le Discours du Président Gonzalo est une synthèse magistrale du glorieux, transcendantale et historique IIIème Plenum du Comité Central du Parti. Le Discours signalait : « Nous devons poursuivre les tâches établies par le IIIème Plénum du Comité Central.

Un glorieux Plénum ! Sachez que ces décisions sont déjà en cours d’application et ceci va se poursuivre ; nous continuerons d’appliquer le IVème Plan de Développement Stratégique de la Guerre Populaire pour Conquérir le Pouvoir, nous continuerons à développer le VIème Plan Militaire pour Construire la Conquête du Pouvoir, cela se poursuivra. C’est la tâche à accomplir !

C’est ce que nous ferons, à cause de ce que nous sommes ! Et à cause de l’obligation que nous avons envers le prolétariat et le peuple ! ».

Et le Parti Communiste du Pérou, guidé par la lumière du marxisme-léninisme-maoïsme, pensée gonzalo, principalement la pensée gonzalo, en se soumettant fermement à la Grande Direction du Président Gonzalo et sous la direction du Comité Central, poursuit l’application magistrale des tâches qui ont été établies, avançant dans la construction du Parti, de l’Armée Populaire de Libération et du nouveau Pouvoir, ce qui se concrétise par l’augmentation quantitative et qualitative du nombre de communistes, combattants et des masses.

Le PCP est ainsi en train de sortir de l’inflexion et surmonter le détour. Il défend et élargisse les Bases d’appui, récupérant celles qui ont été perdues et ouvrant encore d’autres, nouvelles.

Des drapeaux rouges, avec des faucilles et des marteaux, ont été hissés dans toute l’enceinte du Comité Régional Principal, ainsi qu’en beaucoup d’autres endroits du pays, appelant le peuple à développer encore plus la guerre populaire, comme le meilleur hommage prolétarien et populaire à l’occasion du Xème anniversaire du Discours.

Le Comité Régional Principal accomplit son rôle, son action pose des jalons pour l’action de tous les autres Comités du Parti.

Le nouveau Pouvoir est soutenu sur les fusils de l’Armée Populaire de Libération, la réaction elle-même, à travers ses médias, en dépit du fait évident qu’elle minimise cela, rend compte de l’existence de Bases d’appui et de zones de guérilla à Piura, Cajamarca, San Martín, Huánuco (Haut Huallaga), Haute Amazonie, la vallée du fleuve Apurímac-Ene (Junín et Ayacucho) et à Cajatambo, une province de Lima.

Le régime de Toledo applique, en poursuivant ce qui a été imposé par le régime fasciste de Fujimori, comme partie de la guerre de basse intensité.

Cette politique consiste à passer sous silence mettre toute l’information à propos de l’avance irrépressible de la guerre populaire, mais on ne peut pas cacher les flammes puissantes de la guerre populaire, et les journaux réactionnaires eux-mêmes disent : « A Llaymucha on pense que SL [le Sentier Lumineux] était derrière l’attaque, ceci à cause d’une raison très simple : sa présence politique et militaire est constante y préoccupante depuis plusieurs mois ».

Ils disent que le Parti « avait planifié des incursions armées et politiques à Cabana — lieu de naissance du président de la République — ainsi qu’en d’autres zones rurales d’Ancash », ce qui plus tard a été confirmée par Rospigliosi lui-même, d’après informations du même journal, en admettant comment on est sur le point de surmonter l’inflexion : « La chute d’Abimael Guzmán Reinoso en 1992 faisait que les membres du SL du Comité Régional Nord (CRN) étaient passés à une étape d’hibernation. Aujourd’hui, cette « trêve » a disparu, ce qui a transformé Ancash en principale zone rouge du pays. Ceci est précisément ce que quelques secteurs liés au Pouvoir Exécutif souhaiteraient cacher. SL est présent dans les organisations sociles, dans les centres universitaires, dans les syndicats et parmi les paysans qui cultivent la coca dans les zones rurales ».

Les actions de l’APL — dirigée de manière absolue par le Parti — ont augmenté remarquablement durant l’application du plan actuel, « Unir le peuple contre la dictature fasciste, génocidaire et bradeuse de patrie, en développant plus la guerre populaire », depuis février 1998, surtout durant le gouvernement actuel.

Il y a une élévation du niveau des actions dans le Régional principal, dans le Fondamental et dans le Comité Régional Métropolitain ; sur toute l’étendue de notre pays, à la campagne et en ville, par exemple à Cangallo-Fajardo, Puno, Tacna, Piura, Chiclayo, Tarapoto, Arequipa, à Lima, dans les quartiers et bidonvilles, universités, institutions étatiques, usines, marchés, etc.

En assumant la tâche demandée par notre Grande Direction dans son Discours, que pour forger « le Front Populaire de Libération, il faut, à partir de l’Armée Populaire de Guérilla, former et développer une Armée Populaire de Libération ! ». Le Parti a accompli cela en appliquant magistralement les plans établis et doté notre révolution de notre APL.

Il en est donc ainsi, comme le Président l’ clairement dit : « le chemin démocratique aujourd’hui a commencé à se développer comme un chemin de libération, comme un chemin populaire de libération ! ».

Ce qui ce concrétise, comme nous le savons, en le déplacement du centre et en l’insurrection. Ceci se concrétise donc en le couronnement de la révolution démocratique, quand’on prend les villes depuis la campagne, en suivant le chemin d’encercler les villes depuis la campagne.

Ceci est la confirmation de ce qui a été signalé par notre Grande Direction, que : « C’est l’Equilibre Stratégique ! Ce qui se concrétise dans une situation capitale ; à quoi ont servi ces douze années ?

A montrer de façon éclatante au monde et principalement au peuple péruvien que l’Etat péruvien est un tigre en papier, qu’il est pourri jusqu’à la moelle. C’est ce que nous avons démontré ! »

Après l’arrestation du Président Gonzalo, le Comité Central assumait avec fermeté, sagacité et décision de continuer d’appliquer les plans établis, en résumant ainsi la situation historique et la tâche à accomplir : « Deux chemins s’affrontent dans notre patrie, l’un, lugubre, le chemin bureaucratique qui s’effondre dans la pire crise de son histoire et qui sera totalement démoli au milieu du génocide avec laquelle elle se défend telle une bête mortellement blessée ; et l’autre, le chemin démocratique, le chemin de la lumière et de l’espoir qui a commencé à se développer comme un chemin populaire de libération.

Les treize ans de la guerre populaire marxiste-léniniste-maoïste, pensée gonzalo, qui depuis 1991 est entrée à l’équilibre stratégique, montrent de manière évidente au monde et principalement au peuple péruvien l’essence d’être un tigre en papier de l’Etat péruvien et que le peuple toujours davantage assume dans ses mains la tâche de préparer l’offensive stratégique, à travers de construire la conquête du Pouvoir ». Aujourd’hui, dix ans plus tard, le bilan est : « application magistrale des plans ».

Le Maoïsme s’impose dans le monde par la guerre populaire !

Le Président Gonzalo a déterminé, dans le Discours magistral, quelle était la situation internationale, il signalait clairement son développement et la tâche qui revient à nous d’accomplir : « … »nouvelle étape de paix » ; à quoi a-t-il abouti ? En Yougoslavie, c’est quoi ? Et ailleurs, c’est quoi ? Tout s’est politisé ; c’est un mensonge.

Aujourd’hui il n’y a qu’une réalité, ce sont les mêmes rivaux de la première et de la deuxième Guerre Mondiale, ils sont en train d’engendrer, de préparer la troisième et nouvelle guerre mondiale.

Il faut que nous le sachions et nous, les fils d’un pays opprimé, nous faisons partie du butin. Nous ne pouvons laisser faire cela ! Assez d’exploitation impérialiste ! Nous devons en finir avec eux tous !

Nous appartenons au tiers monde et le tiers monde est la base de la révolution prolétarienne mondiale, à une condition, que les Partis Communistes arborent et dirigent.

Voilà ce qu’il faut faire ! ». C’est-à-dire, comme le Président Gonzalo le disait dans ce même Discours : « De quoi avons-nous besoin ? Nous avons besoin que le maoïsme soit incarné et il est en train de l’être, et que, en générant des Partis Communistes, il prenne la barre, dirige cette nouvelle grande vague de la révolution prolétarienne mondiale ».

Les événements pendant cette décennie qui se termine aujourd’hui et la perspective proche nous montre précisément cela, comment toutes les contradictions fondamentales convergent et s’aiguisent.

La collusion et la rivalité entre les impérialistes aparaissent dans leur prétendue guerre contre le terrorisme, dans leur agression contre l’Afghanistan, l’Iraq, la Palestine, etc., ceci fait partie de l’offensive contre-révolutionnaire générale, avec laquelle ils cherchent à conjurer la révolution en tant que tendance principale, historique et politique ; une offensive dont laquelle l’impérialisme yankee prend la tête en sa condition d’être seule hégémoniste et grand gendarme, il est un géant aux pieds d’argile en putrefaction.

De notre côté, le maoïsme s’incarne et les Partis Communistes dirigent des guerres populaires au Népal et en Turquie, des luttes armées en Inde et d’autres pays.

Le Parti Communiste du Pérou assume toujours davantage son rôle, en dirigeant de manière magistrale la révolution au Pérou. Ainsi, il répercute sur la lutte internationale et de cette manière, le PCP sert la Révolution Prolétarienne Mondiale.

A cause de cela, la lutte idéologique et politique au sein du mouvement communiste international devient plus forte avec chaque jour qui passe. L’impérialisme yankee, avec l’appui du révisionnisme, dans le cadre de son plan hégémonique, cherche à scinder le mouvement communiste international.

Comme le révisionnisme est le fer de lance de l’impérialisme, l’impérialisme et le révisionnisme se serrent la main afin d’imputer au Président Gonzalo d’être un capitulard, un traître ; pour dire que le Parti a trois centres, qu’il n’est présent qu’en Huallaga, Ene et Apurímac.

L’impérialisme vise à une nouvelle troisième guerre mondiale afin de se repartager le monde et il cherche à noyer la révolution en germe, car la révolution va lui opposer la guerre populaire. A cause de ce que nous sommes, nous avons l’obligation de faire échouer ces dessins noirs. Nous sommes certains que, avec la politique au poste de commandement, nous les vaincrons.

Poursuivons la lutte implacable contre la ligne opportuniste de droite, révisionniste et capitulationniste (LOD) !

Il nous faut poursuivre la lutte implacable pour balayer la ligne opportuniste de droite, révisionniste et capitulationniste (LOD), sans jamais perdre de vue qu’en ce qui concerne les erreurs et les injustices, il y a une solution, ils peuvent être corrigés, mais pour la trahison, il n’y a pas de pardon.

Comme le Parti indique : « La trahison est sanctionnée par la peine de mort. Ils rêvent, s’ils pensent qu’ils seront heureux, là où ils se trouvent, en étant conscients du crime qu’ils ont commis.

Parfois la justice révolutionnaire met longtemps, mais elle vient et le jour va venir pour ces traîtres et ils rendront des comptes pour leurs crimes. Ils savent d’ailleurs très bien, que : Rien ne justifie la trahison ! »

Les rats misérables de la LOD se présentent comme étant les avocats du Président Gonzalo, pendant qu’ils servent les plans criminels de l’impérialisme et de la réaction, en le diffamant et le présentant comme un traître, comme un capitulard.

Ces rats maudits de la LOD font, avec l’aide de leurs maîtres, tout pour saboter la défense légale du Président Gonzalo et du Camarade Feliciano, profitant des circonstances d’isolement absolu auxquelles ils sont soumis à partir du moment qu’ils ont été arrêtés.

Le gouvernement du Yankee au bonnet indien a dicté des nouvelles normes « légales » pour ancrer encore davantage l’isolement absolu auquel le Président Gonzalo est soumis. Il répand toute une série de mensonges immondes à propos de sa situation d’emprisonnement et il a fait en sorte que le Tribunal Constitutionnel, qu’il contrôle d’une manière absolue, émette une résolution qui cherche à « valider » toute l’ignominie qu’ils commettent contre la vie, la santé et les droits du Président Gonzalo et du Camarade Feliciano.

Nous appelons le prolétariat international, les Partis Communistes et les Organisations révolutionnaires et très en particulier le Mouvement Révolutionnaire Internationaliste à célébrer le Xème anniversaire du Discours du Président Gonzalo avec des actions qui secouent ce vieux ordre impérialiste pourri.

Vive le Président Gonzalo et sa pensée toute-puissante!

Défendons la vie du Président Gonzalo!

Vive le marxisme-léninisme-maoïsme, pensée Gonzalo!

Vive le Maoïsme ! A bas le révisionnisme!

Vive le Parti Communiste du Pérou!

Vive le Xe anniversaire du Discours magistral du Président Gonzalo!

Yankee, go home!

La guerre populaire vaincra inéluctablement!

Mouvement Populaire Pérou

Septembre 2002

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