Le Parti Communiste Français isolé et interdit (1938-1939)

Le Parti Communiste Français, en quête de légitimité (suivant la ligne opportuniste de droite de Maurice Thorez), se précipite dans le soutien aux radicaux, afin de « sauver » le Front populaire, au moins en apparence. Il va en payer le prix.

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[html] Le rapport au Front populaire

[html] La mobilisation contre Édouard Daladier

[html] Les accords de Munich

[html] Après les accords de Munich, la grève générale de novembre 1938 contre Édouard Daladier

[html] Une économie française brisée et un choix à faire

[html] Le PCF en quête éperdue de l’alliance avec les radicaux

[html] Le PCF et Daladier contre Daladier

[html] La défaite de l’Espagne républicaine

[html] La tentative de rapprochement avec le Parti socialiste-SFIO

[html] La question de l’Alliance franco-soviétique, le matérialisme dialectique

[html] « Pour la paix ! Pour le progrès ! Pour la République ! Français, unissez-vous ! »

[html] Le rejet par les socialistes et l’interdiction de la presse communiste

[html] L’interdiction