
L’URSS socialiste passée aux mains des révisionnistes voit tout l’appareil d’Etat désormais au service d’un capitalisme monopoliste d’Etat. Sa trajectoire est expansionniste avec un complexe militaro-industriel toujours plus important, sa politique intérieure terroriste avec le KGB.
Les pénuries, la bureaucratie, la faillite morale et culturelle, bref l’échec complet caractérisera les efforts du social-impérialisme soviétique, qui rêvait de prendre la place de la superpuissance impérialiste américaine pour l’hégémonie mondiale.
[en ligne] Le rêve éveillé de Nikita Khrouchtchev
[en ligne] La grande réforme du salariat en 1956
[en ligne] La crise de 1964
[en ligne] La « réforme » de 1965 dans ce qu’elle reflète
[en ligne] L’URSS capitaliste monopoliste d’État
[en ligne] La nomenklatura
[en ligne] Les pénuries permanentes, la mafia et la débrouille
[en ligne] Le KGB
[en ligne] La prépondérance du complexe militaro-industriel
[en ligne] La planification auto-comptable et l’exportation de pétrole
[en ligne] Les dirigeants et la cassure de 1964
[en ligne] Le terrible retard dans l’agriculture
[en ligne] La tentative d’expansion militaire
[en ligne] Mikhaïl Gorbatchev et la visites à Londres en 1984
[en ligne] Mikhaïl Gorbatchev, l’alcool et la catastrophe de Tchernobyl
[en ligne] L’effondrement économique à la fin des années 1980
[en ligne] La fin juridique de l’URSS
[en ligne] L’opposition marxiste-léniniste
[en ligne] L’opposition de gauche « néo-marxiste »
[en ligne] L’opposition des dissidents