La peinture naturaliste belge émerge comme prise de conscience de la réalité sociale et nationale. Elle est cependant subordonnée aux impératifs bourgeois et est surtout le vecteur d’un subjectivisme misérabiliste, puis esthétisant, avec le symbolisme et l’impressionnisme.
C’est le reflet d’une vraie problématique de fond : la faiblesse de la bourgeoisie belge, son incapacité à procéder à l’émergence nationale.
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[html] La question nationale
[html] Un esprit de commisération
[html] L’Art moderne, La Jeune Belgique et le libéralisme
[html] Cécile Douard et la charge réaliste
[html] Vie quotidienne, situation typique
[html] Constantin Meunier et le mysticisme du travail
[html] Constantin Meunier et les figures de type massif-monumental
[html] La revue L’Art moderne
[html] Émile Claus et le «luminisme»
[html] Léon Frédéric et le réalisme de l’espoir
[html] Le refus de tout positionnement par les XX
[html] L’assimilation aux impressionnistes
[html] James Ensor comme exemple de contre-tendance
[html] L’échec national de La Jeune Belgique