Le « national-socialisme » qui a existé en Allemagne n’est pas né avec Adolf Hitler : celui-ci a pris la tête du mouvement se réclamant de cette idéologie et se conjuguant aux intérêts des plus réactionnaires, il a façonné le modèle d’un Etat conquérant niant les luttes de classes et permettant au capitalisme monopoliste de s’imposer.
Le moyen de cette réussite fut un anti-capitalisme romantique particulièrement élaboré et s’appuyant en premier lieu sur l’antisémitisme.
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[html] Un projet anti-dialectique et romantique
[html] « Le drapeau levé »
[html] Une conception « organique »
[html] La conception des S.A. selon Hitler
[html] Une organisation méthodique
[html] Socialisme prussien et révolution conservatrice
[html] Rudolf Jung, le premier national-socialiste, modèle pour Hitler et le parti nazi
[html] Le « socialisme national » de Rudolf Jung
[html] De la «landsturm» à la «volkssturm»
[html] Clausewitz et les milices « nationales » par en haut
[html] Le rôle du proudhonisme de Gottfried Feder
[html] L’usurier comme figure générale internationale et particulière locale
[html] L’appui logique du grand capital au national-socialisme
[html] Le parti nazi et le grand capital
[html] La remise du pouvoir au parti nazi
[html] L’idéologie S.S. comme excroissance et superstructure
[html] L’absence de contradictions réelles au sein des S.A.
[html] Les contradictions au sein de l’Etat nazi
[html] La prétendue «nuit des longs couteaux»
[html] Les caractéristiques générales