Henri Bergson (1859-1941) est un philosophe essentiel dans l’histoire de France, puisque c’est lui qui résume tout l’idéalisme à la française, oscillant entre culte de l’intuition et un faux rationalisme authentiquement utilitariste.
Avec Henri Bergson, on a tous les fondamentaux du subjectivisme, de la célébration du moi comme seule figure réelle dans le monde. Ce dernier est également traversé par une sorte d’élan vital transformateur, ce qui n’est rien d’autre ici que le reflet du capitalisme triomphant et pourrissant.
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[html] Le subjectivisme français à la recherche de l’intuition
[html] Un renouvellement de la démarche subjectiviste de Descartes
[html] «Où notre pensée s’absorbe et où notre volonté se perd»
[html] La confusion de l’espace et du temps
[html] Une science demeurant éternellement soumise à la loi de non-contradiction
[html] Le «moi fondamental»
[html] Le libre-arbitre comme intuition
[html] Entre «idéalisme» et «réalisme»
[html] Le «bureau téléphonique central»
[html] Mémoires vive et morte
[html] «L’étranger» de Camus
[html] Le théâtre de l’absurde de Ionesco et Beckett
[html] Piétinement, déviation, retour en arrière dans l’évolution
[html] «La désharmonie entre les espèces ira en s’accentuant»
[html] Une intelligence humaine qui «procède à la fois par intention et par calcul»
[html] À mi-chemin de l’idéalisme et du matérialisme
[html] La critique effectuée par Politzer