Le Parti Ouvrier Français

Le Parti Ouvrier Français, formé en 1882, fut le grand espoir pour la France du marxisme et de la social-démocratie allemande.

Il fut le vecteur de nombreuses luttes de la classe ouvrière commençant à s’organiser, ainsi qu’à l’origine de la diffusion des conceptions collectivistes allant dans le sens du marxisme ; ce fut Jules Guesde qui en fut la figure de proue et le moteur idéologique.

Toutefois, ce n’était somme toute qu’un groupe propagandiste incapable de s’élever au niveau de la social-démocratie. Il céda au municipalisme et finalement à la lecture socialiste-idéaliste propre à la France qui donnera naissance à la SFIO, au début du 20e siècle.

Le dossier est également disponible au format PDF, ainsi qu’au format EPUB.

[html] Le rôle de Jules Guesde après la Commune

[html] Le concept de collectivisme

[html] La «révolution violente»

[html] Le Programme marxiste

[html] La scission avec les possibilistes anti-marxistes

[html] Une organisation propagandiste non social-démocrate

[html] La valeur historique

[html] «Bêtises bakouninistes», besoin de déclamation et zèle intempestif
[html] Un collectivisme volontariste mais apolitique

[html] Un collectivisme volontariste mais apolitique

[html] L’effondrement

Annexe

[html] Paul Lafargue – La base philosophique du Parti ouvrier (1882)

[html] X° Congrès national du Parti Ouvrier Français (1892)

[html] Paul Lafargue – Le 1er Mai et le mouvement socialiste en France (1891)

[html] Jules Guesde – Les deux méthodes (1900)