
La guerre d’Algérie a été une guerre comme nulle autre, opposant des forces avec une nature bien spécifique.
D’un côté, on a un État capitaliste devenu impérialiste et cherchant à agrandir son territoire dans la zone méditerranéenne, s’appuyant sur l’implantation historique d’une vaste population, avec aussi une conception du maintien de l’ordre extrêmement pragmatique et calculatrice.
De l’autre, on a une petite-bourgeoisie urbanisée prenant la tête de masses paysannes entièrement dominées par le féodalisme impulsé par la colonisation, afin de former un nouvel État pour pouvoir se transformer en bourgeoisie bureaucratique.
[en ligne] Impérialisme, semi-féodalisme romantique
[en ligne] Une colonisation de peuplement
[en ligne] Messali Hadj et l’Étoile nord-africaine
[en ligne] Ferhat Abbas et le «Manifeste»
[en ligne] L’échec du «djihad» de 1945
[en ligne] Le djihad du Front de Libération Nationale
[en ligne] Le terrorisme pour que la France «laisse les clefs»
[en ligne] La torture et la gauche anti-communiste
[en ligne] Les succès militaires à court terme du FLN
[en ligne] Les ultras, le coup d’Etat et Charles de Gaulle
[en ligne] Le discours de Constantine et l’intégration de l’Algérie
[en ligne] Le pseudo coup d’État du 21 avril 1961
[en ligne] L’OAS face à l’alternative «la valise ou le cercueil»
[en ligne] Ahmed Ben Bella, le Fidel Castro algérien
[en ligne] Un «socialisme islamique» à prétention anti-coloniale
[en ligne] La contradiction entre féodalisme et capitalisme bureaucratique
Annexe
[en ligne] Le premier appel du Front de Libération Nationale, en octobre 1954