Dans une ville de Prague alors l’un des fleurons de la civilisation, dans une Bohême en concurrence tchèque avec les forces allemandes du Saint Empire Romain germanique, la contestation contre le catholicisme fut en mesure d’unifier toute une série de forces sociales.
Pour la première fois, l’Eglise catholique chancelait sous les coups d’une révolte annonçant le protestantisme, mais portée également par une plèbe urbaine et une paysannerie avec des traits marqués en faveur de la socialisation, voire d’une forme de communisme.
Le hussitisme ébranlait le catholicisme et le taborisme mettait en marche les masses révolutionnaires, ouvrant toute une nouvelle époque.
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[html] Affirmation historique de l’averroïsme politique
[html] Defensor pacis, de Jandun et Marsile de Padoue
[html] La confluence de Wyclif l’averroïste politique et des oppositions laïques populaires
[html] Prague, ville dorée
[html] Prédications praguoises
[html] Thomas Stitny, vers le protestantisme
[html] Implosion suite à la contradiction noblesse-royauté
[html] Apparition du hussitisme
[html] La tempête hussite
[html] Soulèvements plébéien et taborite
[html] La guérilla des chariots
[html] L’effervescence populaire taborite
[html] Le communisme taborite
[html] Écrasement du communisme taborite
[html] Écrasement du mouvement plébéien praguois et succès hussites
[html] L’effondrement faute de direction révolutionnaire
[html] Épilogue et prélude de la guerre des paysans en Allemagne
ANNEXE
[html] Le Manifeste de Prague de Thomas Müntzer
[epubl] Georges Sand, Jean Zyska (1843)
[html] Georges Sand, Procope le grand (1869)