L’école de Francfort, la théorie critique et la critique de la valeur

Sympathisants du marxisme et de la révolution, mais issu de milieux grands bourgeois, des intellectuels, Juifs pour la plupart, basculèrent dans un point de vue à la fois moraliste et philosophe contre « l’industrialisme » du monde moderne. Cela donna l’école de Francfort des années 1920-1930, qui produisit ensuite une « théorie critique » avec l’installation aux Etats-Unis et connut un prolongement tout aussi intellectuel bourgeois avec la « critique de la valeur ».

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[html] « Marxisme et philosophie » et « Histoire et conscience de classe »

[html] L’Institut de recherche sociale, de Francfort à New York

[html] Walter Benjamin et la culture de masse

[html] Les débuts de la théorie critique

[html] La « kulturkritik » contre l’industrialisme

[html] L’antisémitisme de la personnalité autoritaire : l’échelle F

[html] Le retour en Europe et la figure de Theodor Adorno

[html] Herbert Marcuse et l’homme unidimensionnel

[html] Contre-révolution et révolte

[html] Le capitalisme qui se subsiste à lui-même

[html] De la théorie critique à la critique de la valeur

[html] Les principes de la critique de la valeur

[html] La source de la critique de la valeur et de sa vue du travail comme abstraction

[html] L’obsession pour le capital financier de la part de la critique de la valeur

[html] La critique de la valeur et l’obsession pour l’anticapitalisme romantique

[html] La « critique de la valeur-dissociation »