Edmund Husserl (1859-1938), élève de Franz Brentano tout comme Sigmund Freud, affirme le moi de René Descartes en le tournant non pas vers des mathématiques (pures car non matérielles), mais vers le monde rempli de ressources à saisir.
Cette saisie donnerait seul l’accès au monde, qu’on ne connaît qu’avec le moi, par le moi, pour le moi. C’est le subjectivisme absolu, l’idéologie du mode de production capitaliste développé.
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[html] La phénoménologie, vision du monde la plus pure du subjectivisme bourgeois
[html] La phénoménologie et le flux de la conscience comme solution au dilemme cartésien
[html] La phénoménologie comme prolongement de la « révolution cartésienne »
[html] La phénoménologie comme dépassement subjectiviste de Descartes
[html] La phénoménologie et le monde multiple des subjectivismes multiples
[html] Edmund Husserl et la quête de l’absolu subjectiviste
[html] Edmund Husserl et le monde comme horizon des possibles
[html] Edmund Husserl et l’ego absolu au sein de la civilisation
[html] Edmund Husserl et le monde de la vie