La tragédie classique française

Porté par l’exigence protestante du développement de la vie intérieure et de la morale, la tragédie française a connu des oscillations au point de pencher vers le baroque et le stoïcisme en raison du catholicisme et de la réaction, pour finalement connaître une version stoïcienne expression de la monarchie absolue.

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[html] Un héritage

[html] L »initiative protestante

[html] La version stoïcienne

[html] Robert Garnier généralise l’approche de Sénèque

[html] Face au calvinisme et aussi face au catholicisme

[html] Sentiment de grandeur et éloquence

[html] Antoine de Montchrestien

[html] La tragi-comédie comme décadence

[html] Fétichisme de l’horreur et vision baroque du monde

[html] La réponse de la monarchie absolue

[html] Contre l’irrégularité et pour la vraisemblance

[html] La redéfinition

[html] Corneille, représentant de la Fronde

[html] Une tendance historique

[html] Racine par rapport à Corneille

[html] Le monologue de Titus, un exemple de portrait psychologique sur une base dialectique

[html] L’incompréhension des Lumières

[html] La préface de «Cromwell» et le rejet au XIXe siècle

Documents

[html] Étienne Jodelle – Cléopâtre captive (1553)

[html] Robert Garnier – Bradamante (1582) – première partie

[html] Robert Garnier – Bradamante (1582) – seconde partie

[html] Jean de Schélandre – Préface de « Tyr et Sidon » (1608)

[html] André Mareschal – Préface de la «La Généreuse Allemande» (1631)

[html] Jean Mairet – La Sophonisbe (1634)

[html] Victor Hugo – préface de «Cromwell» (1827)

[html] Victor Hugo – préface de «Hernani» (1830)