La langue française a connu une évolution de par l’affirmation de la contradiction villes/campagnes qui a amené un éloignement de la concision littéraire et formelle, au profit de tournures orales compactées, bien choisies, cherchant à être décisives.
A l’arrière-plan, il y a la transformation nerveuse de l’être humain de par le triomphe du mode de production capitaliste. Les meilleurs poèmes de Paul Verlaine, qui à part cela a sombré dans la décadence, témoignent de cette évolution.
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[html] Charles Baudelaire et les ondulations de la rêverie
[html] Charles Baudelaire et le « mauvais vitrier »
[html] La chanson du vitrier d’Arsène Houssaye
[html] Paul Verlaine sur Charles Baudelaire et la nervosité
[html] Le rôle historique de Paul Verlaine pour la langue française
[html] Paul Verlaine, de la nervosité au milieu du Parnasse
[html] Les soleils couchants de Paul Verlaine et sa reconnaissance de la nature
[html] La promenade sentimentale de Paul Verlaine, une nervosité mise en perspective
[html] La «Chanson d’automne» de Paul Verlaine, chef d’œuvre de musicalité
[html] Paul Verlaine et le compactage de l’expression
[html] Paul Verlaine et la «musique avant toute chose»