L’URSS, après un déséquilibre provoqué par les gauchistes et les modernistes, réussit à assumer la nasledstvo, c’est-à-dire l’héritage culturel historique, en prolongeant sa dimension nationale-démocratique dans un sens démocratique socialiste.
Si l’élément russe fut prédominant pour des raisons historiques, la musique classique se généralisa à l’ensemble des républiques.
[html] La première vague de la musique classique russe
[html] La seconde vague de la musique classique russe
[html] La situation de la musique classique russe au lendemain d’Octobre 1917
[html] L’influence du modernisme et du proletkult sur la musique classique des années 1920
[html] L’affirmation de la musique classique dans les années 1930
[html] Célébrer Tchaïkovski
[html] Sergueï Prokofiev, le titan russe
[html] Sergueï Prokofiev : Zdravitsa
[html] Les maîtres ukrainiens
[html] Dmitri Chostakovitch, le colosse aux pieds d’argile
[html] Uzeyir Hadjibeyov, le titan azéri
[html] Aram Khatchatourian, le titan arménien
[html] Le soutien à la musique classique des républiques de l’URSS
[html] Le ballet
[html] Suliko
Annexe
[html] « Le chaos en lieu et place de la musique »
[html] La résolution du PCUS(b) sur l’opéra «La grande amitié»