
Parvenant à puiser dans ses acquis anti-guerre et antifasciste, le Parti Communiste Français surmonte son positionnement « actionniste » à la suite de la tentative de coup d’Etat fasciste du 6 février 1934, et écrase ainsi la ligne opportuniste de gauche de Jacques Doriot.
[en ligne] L’affaire Stavisky
[en ligne] Le désastre du 6 février 1934
[en ligne] Les suites immédiates du 6 février 1934
[en ligne] Le 12 février 1934 et son impact
[en ligne] La crise interne portée par Jacques Doriot
[en ligne] Le rejet de la ligne de Jacques Doriot
[en ligne] L’unité antifasciste
[en ligne] L’exclusion de Jacques Doriot