
Le Parti Communiste avait été en première ligne dans la confrontation avec le coup fasciste du 6 février 1934. Il parvint alors à lancer la mise en place d’une unité avec le Parti socialiste SFIO, pour constituer un Front populaire. Il céda toutefois à la pression idéologique des centristes (les « radicaux »).
[en ligne] L’irrépressible tendance à l’unité
[en ligne] Le pacte du Parti communiste (SFIC) et du Parti socialiste (SFIO)
[en ligne] Maurice Thorez et le « Français moyen »
[en ligne] La ligne antifasciste populaire par et pour l’unité
[en ligne] Le tandem Parti communiste (SFIC) – Parti socialiste (SFIO)
[en ligne] La ligne revendicative syndicaliste
[en ligne] L’unité d’action antifasciste
[en ligne] Faiblesse et élargissement aux radicaux
[en ligne] La soumission aux radicaux et le 14 juillet 1935
[en ligne] La ligne du 14 juillet 1935
[en ligne] L’union Parti communiste-Parti socialiste en convergence avec les radicaux
[en ligne] La loi de dissolution des ligues d’extrême-droite et la loi du 10 janvier 1936
[en ligne] Le 8e congrès