Ecrivain tourmenté, à la fois romantique et d’un esprit opportuniste le plus complet, Pierre Drieu La Rochelle a écrit notamment Le feu follet et Rêveuse bourgeoisie, témoignant de sa prise en considération de la contradiction entre villes et campagnes, entre travail intellectuel et travail manuel.
Mais son approche incohérente en fit un théoricien d’un socialisme fasciste qui l’amena à collaborer avec l’occupant nazi.
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[html] Une charge romantique
[html] La nature ou les dieux?
[html] Contre la rêveuse bourgeoisie
[html] Le feu follet
[html] Le «Socialisme fasciste»
[html] Un disciple de Georges Sorel
[html] « Un ouvrier est un bourgeois »
[html] Une approche futuriste
[html] L’aspect convulsif de l’art
[html] la fusion mystique avec le «Grand Midi»
[html] La restauration du corps par le sport et la guerre
[html] Contre la guerre, pour le sport
[html] L’idée d’Europe contre le nationalisme
[html] Contre l’unanimité aseptisée
[html] La petite-bourgeoisie contre la machine
[html] Une fantasmagorie
[html] « La Lutte des Jeunes »
[html] L’affirmation revendicative et pragmatique
[html] « Parce que je suis un petit bourgeois »
[html] La fonction de l’antisémitisme
[html] « Nous nous battrons contre tout le monde »
[html] « L’avortement de cette pensée qui nous frôla »
[html] La rupture avec Louis Aragon
[html] Gilles
[html] La réponse avec Aurélien
[html] « Rien ne me sépare plus du communisme »
[html] Un idéal dématérialisé
[html] La théorisation du pragmatisme
Annexe
[html] Extraits du roman Les chiens de paille, de 1944.