
Charles Baudelaire (1821-1867) est une figure de la petite-bourgeoisie intellectuelle de son temps. Sa particularité est d’avoir tenté de dépasser le romantisme en proposant à la bourgeoisie de multiplier les sensations telle une expérience, ce qui est somme toute l’émergence d’une démarche élitiste-vitaliste à prétention esthétique.
[en ligne] Un parcours classique des milieux artistiques de la France du milieu du XIXe siècle
[en ligne] Le compte-rendu du Salon de 1845 et la critique soumise à la bourgeoisie
[en ligne] Le compte-rendu du Salon de 1846 et l’idéologie subjectiviste – impressionniste
[en ligne] Vers Les Fleurs du mal
[en ligne] Les Fleurs du mal, échec de la promesse de la sensation multipliée
[en ligne] Le sens de la censure des Fleurs du mal
[en ligne] Le réalisme grossier des Fleurs du mal à travers le mysticisme de Swedenborg
[en ligne] La boue et l’or : la kabbale des Fleurs du mal avec la « transgression désintéressée »
[en ligne] L’autosatisfaction permanente
[en ligne] Le meilleur de Baudelaire : le Parnasse
[en ligne] La signification du spleen : Baudelaire, le Nietzsche et le Freud français
[en ligne] Baudelaire, le mauvais vitrier, les vitres magiques et la vie en beau
[en ligne] Charles Baudelaire et la vie intérieure : les mouvements lyriques de l’âme, les ondulations de la rêverie, les soubresauts de la conscience
[en ligne] Un misérabilisme naturaliste vu à travers les yeux des pauvres
[en ligne] Le culte de l’expérience du petit-bourgeois intellectuel
[en ligne] Charles Baudelaire comme drapeau décadentiste
[en ligne] Le développement du capitalisme et la reconnaissance de Charles Baudelaire
[en ligne] Le double caractère de Charles Baudelaire