La crise néo-socialiste dans la SFIO

Les partisans à tout prix d’une participation gouvernementale ou du moins d’un soutien à des décisions gouvernementale synthétisèrent au sein de la SFIO une idéologie « néo-socialiste » qui ébranla profondément la SFIO en 1933, alors que son aile gauche prenait le dessus sur une ligne « socialiste française ».

Léon Blum fut le principal acteur de cet épisode, liquidant les « participationnistes » servant de bouc-émissaire au réformisme de la SFIO depuis 1920, et utilisant l’aile gauche pour réimpulser une SFIO alors dans un cul-de-sac. Cela explique l’orientation future vers le Front populaire, seul recours pour la SFIO pour satisfaire la ligne réformiste de Léon Blum et l’apparence « révolutionnaire » de l’aile gauche.

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[html] La nature de la crise

[html] La conception néo-socialiste au congrès de la SFIO de 1933

[html] L’épouvante de Léon Blum face aux néo-socialistes au congrès de la SFIO de 1933

[html] La réponse de Léon Blum face aux néo-socialistes au congrès de la SFIO de 1933

[html] Le succès de la « bataille socialiste » dans la SFIO en 1933

[html] L’opposition néo-socialiste lors du congrès de la SFIO de 1933

[html] La longue considération de Léon Blum sur la catastrophe néo-socialiste

[html] La vaste campagne de rectification quotidienne de Léon Blum

[html] La dénonciation des néo-socialistes par Léon Blum et le tournant unitaire

[html] « Socialisme ou anticapitalisme » comme cœur de la critique des néo-socialistes

[html] Léon Blum et le sauvetage de la SFIO face aux néos-socialistes

[html] La seconde séquence anti-néo-socialiste

[html] La dénonciation des néos-socialistes à la suite d’Angoulême

[html] La victoire sur les néos-socialistes

[html] La SFIO à la suite de la victoire sur les néos-socialistes